Qui suis-je?

​Je m’appelle Marine Bouquet, j’ai 26 ans.

 

   Je suis née dans l’Aisne, mais je vis en Vendée depuis l’âge de 3 ans. Vendéenne de cœur depuis toujours, j’y ai construit mes racines et nourri mes passions.

  Après un baccalauréat scientifique et un début d’études en médecine, j’ai poursuivi ma formation à l’ICES, à La Roche-sur-Yon, où j’ai obtenu une licence en Droit, mention science politique.

 

   Malgré l’intérêt intellectuel de ce parcours, il me manquait quelque chose. J’avais besoin de concret, de créer, de m’exprimer autrement.

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   Depuis toute petite, la pâtisserie m’a toujours attirée. Ce monde sucré, délicat, précis, m’a toujours fait vibrer. Alors j’ai décidé de me lancer pleinement dans cette voie. J’ai passé mon CAP Pâtissier, suivi d’une mention complémentaire en glacerie, chocolaterie, confiserie et dessert à l’assiette.

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   J’ai ensuite travaillé pendant deux années chez Tartine & Gourmandises à Mouilleron-le-Captif. Une expérience inoubliable, autant sur le plan humain que professionnel. J’y ai beaucoup appris, entourée de personnes généreuses et passionnées.

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   Mais depuis longtemps, un rêve m’habitait : ouvrir ma propre pâtisserie. Pas seulement un lieu où l’on vend des gâteaux, mais un endroit chaleureux, à mon image. Un cocon où l’on prend le temps. Pour boire un thé, lire un livre, savourer une pâtisserie maison, belle et pleine de goût.

 

   C’est ainsi qu’est né Bouquet de Pâtisseries : un salon de thé cosy, qui réunit pâtisserie artisanale et bibliothèque, dans une atmosphère douce et accueillante.

   Je mets tout mon cœur dans mes créations. Je cherche des goûts justes, des recettes peu sucrées, des textures équilibrées, et des visuels soignés.

Mon objectif : proposer des pâtisseries aussi agréables à regarder qu’à déguster.

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   Et ce projet, je ne le construis pas seule.

Ma maman m’a énormément soutenue depuis le début — et elle continue chaque jour à m’épauler, avec une générosité et une énergie infinies. Rien de tout cela n’aurait été possible sans elle.

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Bienvenue dans mon univers — ou peut-être devrais-je dire, le nôtre.